Savoir utiliser les huiles essentielles sans être toxique

Tout public averti sait qu’un produit naturel qui contient des substances hautement efficaces n’est pas dépourvu de toxicité. Certes, même si « c’est la dose qui fait le poison » les huiles essentielles sont le parfait exemples pour comprendre qu’outre le choix d’une huile de qualité, il est nécessaire de sélectionner la bonne voie d’administration.

En dehors de quelques huiles allergéniques, dont il faudra rester vigilant envers les personnes au terrain allergique connu, la voie atmosphérique reste la plus sécurisée. C’est d’ailleurs le mode d’administration sélectionné par les centres de soins comme les EHPAD, les hôpitaux… où sont toutefois utilisés des vaporisateurs à secs.

En dehors de ces lieux nécessitant le respect d’un protocole strict, un diffuseur par ionisation (brumisateur) reste un choix d’excellence.

Reste une question qui taraude : Comment ces huiles essentielles peuvent-elles agir avec autant d’efficacité alors que nous ne les touchons même pas ?

Avec 10 millions de cellules nerveuses pour une muqueuse olfactive de 2 cm2, autant dire qu’elles n’ont pas fini de nous mener par le bout du nez !

Proust et sa madeleine en sont un bel exemples. Mais si toutefois celui-ci ne vous parle pas alors je vous propose de penser à l’odeur de la lavande. Et vous voilà immédiatement projeter en vacances, ah je commence à entendre les cigales…

Mais revenons à nos moutons, par voie olfactive, les huiles essentielles atteignent directement notre système

Les 3 cerveaux

limbique qui va ordonner la sécrétion d’hormones, de neuromédiateurs, de substances immunitaires… Et c’est la que nous prenons conscience, si ce n’est déjà fait, à quel point l’être humain est d’une nature sensible et sauvage.

La qualité de l’air que nous respirons est primordiale ! 

Avez vous observer la différence de notre humeur avant et après un orage ?

Si vous avez répondu oui, tant mieux ! Cela signifie que vous savez être à l’écoute de votre corps et aussi que la pollution de notre monde ne vous a pas encore trop impacté.

Avant un orage, nous pouvons ressentir une légère nervosité, voir quelques palpitations. Ce qui est totalement l’inverse après l’orage, ou certains seront à la limite de l’euphorie.

Et bien c’est l’état de ionisation de l’air, positif ou négatif qui influence la charge électrique de nos cellules. Ce qui va avoir une répercussion directe sur le fonctionnement de nos organes et en particulier de nos neurones.

Et c’est l’ionisation négative qui va produire des effets bénéfiques sur notre santé. Nous la retrouvons après un orage, proche d’une cascade, d’un cours d’eau éloigné de la pollution industrielle (dont l’agriculture)… ou encore par l’action de la marche pied nu dans le fond sablonneux d’un cours de ruisseau…

Par son action sur le système nerveux et l’augmentation de volume de l’air inhalé, l’oxygénation cérébrale est améliorée. Autant dire que c’est tout notre être qui se SENT bien mieux !

 


Sources utilisées pour la rédaction de l’article :
C. Pradel  – Troubles de la mémoire et maladie d’Alzheimer
Dr Baudoux – guide pratique d’aromathérapie
D. Festy – Ma bible des huiles essentielles

 

 

 

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