Equilibre de vie : s’adapter à ce qui est, lâcher prise sur ce qui n’est pas sous mon contrôle

Cet article est l’édito de ma newsletter de septembre 2023 intitulé « ralentir avant…de se prendre le mur »

Je partage mon expérience sur mon blog, parce que je veux te montrer qu’une praticienne en médecine non conventionnelle reste un être humain qui se pose les mêmes questions que tout le monde. Nous sommes comme tout le monde confronté à des problématiques, des contraintes, même de santé. La vie parfaite sans soucis n’existe que pour ceux qui veulent bien se la laisser conter et vendre, pour les bénéfices des moins scrupuleux. Bonne lecture et n’hésite pas à commenter, partager, liker si tu penses que ça peut être utile.

 

Et bien je ne sais pas pour toi mais pour ma part, cet été n’a pas été tout rose. Tu vas me dire que tout est relatif, mais je ne te parle pas d’un souci voiture ou d’un frigo qui lâche.

Pour faire court, comme tu le sais, je suis atteinte d’une spondylarthrite ankylosante d’une forme pas sympa puisque je suis HLA B27+. C’est un marqueur génétique de la maladie, ce qui signifie qu’à la loterie de la génétique et sur l’échelle de gravité de cette maladie, je suis tombé sur la plus mauvaise case.

C’est d’ailleurs ce qui m’a fait devenir naturopathe si tu te souviens. Je ne sais pas où j’en serai aujourd’hui si je n’avais pas mis en application toutes mes connaissances acquises au cours de ses années en alimentation, micro-nutrition, phytothérapie, mindset et activité physique… Et quoi qu’il en soit j’ai passé quelques belles années plutôt tranquilles grâce à ce savoir ancestral.

Néanmoins, depuis le printemps et de surcroit cet été, la maladie c’est mise à évoluée et j’ai vécu des poussées très invalidantes. Et comme j’ai un héritage génétique particulier, j’ai aussi un fibrome (mal placé, Eh oui sinon ce n’est pas rigolo !)

Pour traiter ces poussées inflammatoires, j’ai reçu des quantités non négligeables d’anti- inflammatoires non-stéroïdiens et de cortisone. Ces produits aggravent les saignements menstruels…je ne te fais pas de dessin : spondy + fibrome = un combo perdant. Tu l’auras compris je suis dans un cercle vicieux qui dure depuis plusieurs mois. Il m’a fallu réfléchir et trouver une solution.

Je vais donc être opérée en octobre. De ce fait, je vais devoir fermer exceptionnellement mes services de séances pendant 3 semaines. Et je vais modifier quelques peu mes prestations, je t’en parle juste après.

Le but étant de donner la priorité à ma santé. Parce que ce que je te demande de faire pour toi, je le fais pour moi aussi. Parce que c’est aussi en changeant son comportement qu’on change le monde et qu’il faut faire la différence entre se dépasser et se brûler.

Et là j’en viens au sujet principal de cet édito qui n’est pas mon état de santé mais plutôt à comment s’adapte un individu humain à ce qui est. L’objectif étant de pouvoir continuer ce qui nous tient à cœur en acceptant les contraintes que la vie nous donne. En acceptant ce qui est, c’est à dire les faits, il n’y a plus de lutte, donc plus de perte d’énergie dans ce qui ne peut être changé. Cette énergie peut alors être orientée pour créer une nouvelle réalité en incluant les contraintes.

Pour une bonne santé mentale, il est important de lâcher prise sur ce qui n’est pas sous notre contrôle et agir sur ce sur quoi nous l’avons. Ainsi, je ne peux pas changer ma génétique, mais je peux continuer à faire que les gênes s’expriment le moins possible. Je n’ai aucun pouvoir sur la gestion économique du pays, mais je peux décider comment je travaille, gère mon budget… etc. La vie c’est l’adaptation et par conséquent une succession de petits deuils sur ce qui a été et ne sera plus. Car le plus important est de retrouver l’équilibre.

J’écris équilibre, mais je pourrai écrire homéostasie. Une notion essentielle en naturopathie (et en médecine). Voilà donc comment je retrouve mon équilibre afin de continuer à t’accompagner à trouver le tiens.

3 astuces naturelles pour survivre aux repas de fêtes de fin d’année  

Les fêtes approchent avec leurs lots de repas gargantuesques. Alors même si j’ai quitté ce monde de sur-alimentation-consommation-adaptation-menage… je suis bien consciente que pour certains, ne pas honorer les 13 desserts de belle maman serait un scandale planétaire ! 

Dans cet article, je vais vous donner 3 astuces à la portée de tous afin de passer ce cap.  

  1. Préparez-vous : il y a fort à parier que vous allez prendre un peu de poids (2-3 kilos) pendant cette période, l’idéal est donc de les perdre avant. Pour ça commencer par retirer toutes les céréales (riz, blé, orge…) dont le pain 3 à 4 semaines avant les fêtes. C’est bien connu, pour accélérer la perte de poids, il faut supprimer les glucides. Augmentez un peu les portions de protéines végétales et animales, augmentez les légumes et légumineuses. 

 

  1. Bougez : pour relancer ou augmenter votre métabolisme. 25 min de marche 5 fois par semaine seront suffisantes. S’il pleut trop fort, investissez dans des survêtements de protection, un vélo d’intérieur… 

 

  1. Supplémentez-vous, avec de bons compléments alimentaires. Et en toute première intention, à moindre coût : le gingembre. Ayez toujours sur vous un morceau de gingembre frais. Vous pouvez en acheter dans tous les magasins biologiques. Pour faciliter la conservation, vous pouvez le découper en fines lamelles et le faire sécher. Vous pouvez le consommer tel quel pendant le repas ou après le repas et il facilitera la digestion par l’accélération de la vidange de la partie haute de l’estomac. Pas d’acidité, diminution de la lourdeur digestive … 

 

Pour aller plus loin et surtout si la digestion n’est déjà pas au mieux en dehors de ces périodes, voici les produits que je vous recommande :  

  • Anti-acide pH digestif (laboratoire Herbolisitique) disponible à mon cabinet ou sur commande herbolistique.com (code : 12165)
  • Acidrenol (laboratoire Longévie) sur commande longevie.com (code: A076)
  • Equisantum fort (laboratoire LPEV)  disponible à mon cabinet ou sur commande lpev.fr (code : 1509539)
  • Hepatobile et Digervite (laboratoire Copmed) sur commande : https://copmed.info/2ZOEtn4 

 

Si après cela la reprise en janvier reste compliquée, avec une fatigue et/ou des difficultés de digestion persistantes, le mieux reste alors d’envisager une prise en charge en naturopathie. En cabinet, à domicile ou à distance, je propose un large choix d’organisation des séances. Choisissez ce qui convient à votre situation et ne laissez pas le mal être s’installer. Les troubles digestifs, c’est un vrai caillou dans la chaussure !

Les conseils en naturopathie dans le cancer

Dans le cas du cancer, la naturopathie dispose d’outils permettant d’améliorer le confort quotidien de la personne.

Les conseils visent à adapter l’alimentation, à s’adapter au stress de la maladie et de ses conséquences sur nos différents domaines de vie, et aussi à apporter les bons nutriments.

Notre premier rendez-vous vise à faire le point sur votre situation particulière, il y a différents cancers et chaque malade est unique. Je regarde également le ou les traitements afin de pouvoir rédiger mes premiers conseils.

A la suite de ce premier rendez-vous, je prends contact avec la conciliation pharmaceutique de l’hôpital qui vous suit afin de lui soumettre à validation mes conseils. Elle validera ou non ma proposition et nous dialoguerons jusqu’à trouver une solution. L’objectif est que les produits que je vous propose n’entrent pas en interaction avec votre traitement et si c’est le cas, votre chimiothérapie.

Chaque cancer est différent, c’est pour cela qu’il est important que je puisse échanger avec l’équipe médicale afin de trouver la fenêtre dans laquelle je pourrai intervenir et avec quels principes actifs.

Tout au long de l’évolution de la prise en charge médicale, je m’adapte afin de toujours restée complémentaire et dans une démarche d’optimisation du traitement médicale.

Même si c’est évident, il est bon de rappeler que vous ne devez jamais arrêter un traitement médical en cours et que seul votre médecin est habilité à modifier votre traitement.

Je constate que de plus en plus d’équipes médicales préfèrent dialoguer avec les praticiens de médecine non conventionnelle, plutôt que de voir leur patient s’auto conseiller sur des produits qui peuvent aller à l’encontre du traitement médical en cours.

Dans cette coopération juste, légale et respectueuse de chacune des parties, c’est chacun d’entre nous qui en ressort grandi.

Primum non nocere lat.« en premier, ne pas nuire »

 

 

La rupture amoureuse, une occasion de mieux nous connaître

Une rupture amoureuse est l’occasion d’affiner notre objectif de vie dans ce domaine, le type de relation que l’on a vraiment envie de vivre. C’est l’occasion, pour ceux qui travaillent sur eux-mêmes, d’apprendre à se connaître plus encore.

Dans la société actuelle, des gens ont tendance à consommer l’autre comme un objet de propriété, juste pour ne plus être seul, et sans se préoccuper de l’importance du chemin, des apprentissages des épreuves de la vie. C’est l’avoir au lieu de l’être.

Il faut avoir conscience, que si dans un couple vous êtes le seul à communiquer, à vous remettre en question, chercher à comprendre ou peuvent être vos erreurs ou encore si les besoins de l’autres sont comblés (sans s’oublier), alors, c’est déjà la fin. Pareil si vous êtes le seul à faire les projets sans que l’autre ne s’y investisse plus que ça. La fuite de l’autre ce sont ses problèmes, pas les vôtres.

Ce qui est douloureux, comme toujours, c’est le mensonge. Le fait d’être entretenu dans une réalité qui n’existe pas ou que par brides.

Alors, la désillusion est grande mais salvatrice. C’est l’occasion de se rapprocher de la réalisation du couple qui compte pour nous et forcément pour une personne sur cette terre. L’univers n’aime pas le vide et les vibrations que l’on émet, associé à des actions concrètes amènent de belles surprises.

« Il ne suffit pas de visualiser son rêve, il faut travailler à le rendre réel » 

La solitude est l’illusion des personnes qui n’ont jamais travaillées sur elles-mêmes et se contentent d’une vie en surface. Pourtant, l’âme humaine est un océan. Et on ne peut vouloir vivre de belles choses en se contentant de naviguer au grès des flots, sans jamais descendre dans les profondeurs.

Il faut bien comprendre qu’une personne qui recherche une relation authentique avec des discussions profondes et des remises en question ; est un monstre aux yeux de ceux qui vivent en surface. C’est en cela que la rupture n’est absolument pas une punition, … pour personne.

Ne vous souciez pas de la violence de celle-ci si c’est le cas, elle ne vous concerne pas directement mais elle renvoie aux blessures de l’autre et reflète son état intérieur. On quitte avec l’estime qu’on a pour soi-même. De plus, les personnes qui vivent en surface ont besoin de violence, c’est ce qui leur permet de se sentir vivantes.

Gardons à l’esprit que nous ne sommes pas responsables de réparer autrui. Bien évidement chacun à ses blessures propres et si on se met en couple, c’est bien pour évoluer au travers du regard bienveillant de l’autre (c’est aussi du travail), et continuer à grandir ensemble. A ce sujet, je trouve ça étonnant les gens qui se lassent des longues relations, mais comment vivent-ils ? Je laisse cette question en suspens.

Je pense qu’il est tout à fait juste de dire que dans la vie il y a de personnes qui savent se créer des micros-crises de façon à avancer progressivement. Puis d’autres qui ont besoin de grandes cassures, violentes, blessantes, destructrices du moins pour elles. Car dans leurs vies, elles ne savent pas créer ces micros-crises. Pour cela il faut qu’il existe un dialogue intérieur. Être en relation avec soi pour pouvoir l’être avec autrui. Et il semble évident que pour avoir la capacité de les gérer, il faut un attachement sécure sain, de même qu’une confiance en la vie inébranlable.

Alors même si le couple n’est plus, la vie elle est bien là et tout est possible.

J’avais envie de partager ma réparation avec vous, de même que de vous poser des questions à savoir : Est-ce que cet écrit résonne/raisonne en vous ? Voudriez-vous que je vous transmette des conseils pour accompagner en naturopathie une rupture amoureuse, parfois violente ?

 

Calculer sa fréquence cardiaque maximale : pourquoi ? comment ?

La fréquence cardiaque maximale est le nombre de battements maximum de votre cœur en 1 minute lors de l’effort. En marche rapide, vous serez dans une zone d’endurance, avec une fréquence cardiaque comprise entre 60% et 75% de votre fréquence cardiaque maximale (FCM)

 

Comment faire pour calculer sa FCM : 2 MÉTHODES

 

• La méthode Astrand

Le calcul est simple avec cette méthode : 226 – votre âge pour les femmes, 220 – votre âge pour les hommes.

Admettons que vous ayez 35 ans et que vous soyez une femme. Votre fréquence cardiaque maximale sera de 191 battements par minute. Pour rester dans le domaine de l’endurance, entre 60 et 75% de votre FCM, le nombre de battements de votre cœur durant votre séance sera compris entre 111 et 139 battements (191×60%=115, 191×75%=143).

C’est une méthode simple, qui reste un bon indicateur mais il existe une autre méthode, plus précise et plus fiable.

• La méthode Karvonen

Cette méthode prend en compte votre fréquence cardiaque au repos, soit le nombre de battements de votre cœur qu’il faut mesurer le matin au réveil.

Admettons cette fois que vous soyez toujours une femme de 35 ans, avec une fréquence cardiaque au repos de 50 battements par minute. Vous allez soustraire votre fréquence cardiaque au repos de votre FCM. Cela vous donne 141 battements.

A partir de ce chiffre, vous faites le même calcul que précédemment et obtenez les chiffres suivants : 85 et 106 (14160%=85, 14175%=106). Vous ajoutez votre fréquence cardiaque au repos et obtenez votre zone d’endurance. Durant l’effort, votre cœur doit battre entre 135 et 156 battements par minute.

 

Pourquoi est-il important de connaître sa FCM ?

En plein effort, par exemple, lors de votre séance de marche rapide, votre corps a des besoins en oxygène plus important. C’est pourquoi ses battements augmentent et la fréquence cardiaque maximale est atteinte lorsque l’oxygène produit par votre cœur n’est plus suffisant pour alimenter les muscles.

Au-dessus de la zone d’endurance, les muscles ne sont donc plus alimentés correctement en oxygène, nécessaire pour profiter de tous les bienfaits de la marche rapide ou d’un sport d’endurance comme le vélo elliptique.

La bonne nouvelle est qu’en marche rapide, vous êtes la plupart du temps dans le domaine de l’endurance, et c’est pourquoi ce sport est reconnu comme l’activité physique idéale.

 

Comment connaître le nombre de battements du cœur par minute ?

Au repos ou en arrêtant momentanément votre séance pour savoir si vous êtes toujours en endurance, prenez votre pouls. Pour cela, placez 2 doigts en dessous de votre mâchoire, le long de la trachée. Une artère bat, il suffit alors de compter le nombre de battements de cette artère en 1 minute.

Vous pouvez également porter un cardiofréquence mètre, un appareil qui permet de savoir ou vous en êtes durant l’effort.

Bon à savoir

La FCM dépend aussi de nombreux facteurs comme la fatigue, l’alimentation ou encore la consommation de tabac. A fréquence cardiaque maximale identique selon les 2 méthodes proposés, 2 individus auront des fréquences cardiaques au repos différentes. Pour être sûr et certain de votre FCM, nous vous conseillons de réaliser un test d’effort chez un médecin !

Marcher ou pratiquer un autre sport en connaissant sa fréquence cardiaque d’endurance est important, pour ceux qui souhaitent accélérer comme les débutants. Nous vous rappelons que vous ne devez jamais vous sentir essoufflé durant votre séance. Si tel est le cas, ou que vous ressentez une douleur à la poitrine ou des maux de tête, arrêtez-vous et reposez-vous.

Pour une recherche de perte de poids, sachez que c’est la régularité, la durée et l’intensité de la pratique qui vous permettra accélérer celle-ci, en plus de rééquilibrage alimentaire. Il ne sert à rien par conséquent de forcer. Ce sera source de blessure, de découragement et le stress provoqué peut induire une absence totale de résultat !

Le sport doit devenir une habitude de bien être est source de plaisir

Petit déjeuner protéiné rapide et sain

Qui n’a jamais connu un réveil en catastrophe, à quelques minutes de devoir se rendre au travail ? Ah je vois que ça vous parle autant qu’à moi. Alors voilà comment nous allons éviter de commencer une journée le ventre vide, ce qui est plutôt néfaste pour les parois intestinales et favorable pour passer une journée stressante et fatigante. On va éviter ça. Autant que possible, soyons pro-actif.

Pour cela il faut toujours avoir de côté 2 ingrédients. Du yaourt ou du fromage blanc de brebis ou chèvre et du quinoa soufflé.

Intérêt nutritionnel : sans gluten, riche en protéines et fibres donc rassasiant. Idéal en chrononutrition.

Ingrédients pour 1 bol :

  • 100 gr de quinoa soufflé ou flocons de quinoa
  • 100 gr de yaourt de brebis fermier

Etapes de la préparation :

  1. Disposez dans votre contenant 100 gr de chacun des ingrédients
  2. Sois-vous avez au moins 10 minutes pour prendre votre petit déjeuner chez vous, soit vous utilisez un contenant refermable et vous l’amenez au travail.
  3. Ajouter un thé ou un café sans sucre, comme il vous plaira.

 

Pour le choix de vos aliments et de vos contenants réutilisables (type Bento) n’hésitez pas à profiter du bon plan chez Aurore Market en cliquant ici.

Alors vous avez d’autres astuces ? D’autres contraintes particulières ? N’hésitez pas à nous les partager dans la zone de commentaires ci-dessous, merci.

Muffins marbrés au Vitaliseur de Marion

Ma recette de muffins au Vitaliseur de Marion, est une recette gourmande ou de transition. Les recettes de transition, sont celles que je propose pour modifier progressivement ses habitudes et son palais à accepter de nouvelles saveurs. Ici, bien que la recette soit sans gluten, ça ne se ressent absolument pas pour des palais habitués à la farine de blé.

Intérêt nutritionnel : sans gluten, indice glycémique modéré à faible si on utilise du cacao cru à la place de la pâte à tartiner

Ingrédients pour les 3 céramiques du vitaliseur ou le moule à cake :

  • 125 gr de beurre fondu qui peut être remplacé par du beurre de bufflone ou du ghee
  • 1 oeuf
  • 10 cl de lait végétal (lait vanille par exemple)
  • 60 gr de fécule de tapioca
  • 60 gr de farine de quinoa
  • 60 gr de farine de riz complet (ou 120 gr de farine de quinoa)
  • 60 gr de Xylitol
  • 1sachet de poudre à lever sans gluten
  • 1 cuillère à soupe de pâte à tartiner au chocolat (le moins sucré possible mais riche en noisettes)
  • Vanille ou pépites de chocolat (facultatif)

Etapes de la préparation :

  1. Mettez à chauffer de l’eau dans la cuve du vitaliseur, disposez le tamis et recouvrez
  2. Une fois à température, disposez le beurre à fondre dans un ramequin
  3. Pendant ce temps, beurrer vos autres ramequins
  4. Dans un bol, ajoutez l’œuf, le lait végétal et le beurre fondu tiédi.
  5. Progressivement, ajouter les farines, la fécule ainsi que le sachet de poudre à lever et le xylitol
  6. Une fois bien mélangé, séparez la pâte en deux pour ajouter la pâte à tartiner à l’une. Bien mélanger
  7. Disposez un peu de pâte de chaque mélange sur chaque côté des ramequins
  8. Mettre à cuire 30 min
  9. Démoulez environ 5 min après la fin de cuisson et disposez-les sur une grille

 

Le résultat est aussi stupéfiant que délicieux. Le moelleux et le goût sont au rendez-vous.

Je vous propose de décliner cette recette avec de la vanille, des pépites de chocolat, du tout chocolat, à la crème de marron…

N’hésitez pas à nous partager vos commentaires dans la zone dédiée ci-dessous.

Si vous êtes intéressés par le Vitaliseur de Marion ou l’un de ses accessoires, je peux vous permettre de recevoir un code promotionnel par e-mail pour bénéficier d’un tarif préférentiel. (code valable cinq jours sur une commande d’un ou plusieurs produits, n’hésitez pas à visiter la boutique du Vitaliseur de Marion)


NOTE IMPORTANTE : Ce qui est proposé sur ce site n’est pas un acte médical, mais constitue un ensemble de conseils dans le libre choix d’une automédication. Les produits conseillés ne sont pas remboursés par la Sécurité Sociale.<st/strong> NE JAMAIS ARRÊTER UN TRAITEMENT MÉDICAL EN COURS.

Comment faire analyser son microbiote intestinal

L’analyse du microbiote intestinal : pour qui ?

Dans l’article « les conséquences du déséquilibre du microbiote intestinal », nous avons vu quelles situations amenaient faire pratiquer une analyse. Mais voyons plus précisément, à quel public l’analyse du microbiote intestinal s’adresse-t-elle ?

Des restrictions

  • A partir de 4 ans, auparavant le microbiote intestinal n’est pas stabilisé
  • Ne pas avoir pris d’antibiotiques dans les 2 mois précédents l’analyse

Comment procéder ?

A partir du site Nahibu.com avec lequel je suis en partenariat. Commandez votre kit d’analyse qui vous sera envoyé directement chez-vous.

10% de réduction* avec mon code partenaire 1NAHRBR20

* uniquement valable à partir du kit premium

 

Je vous laisse découvrir le site Nahibu.com qui est très bien fait et qui regorge d’informations scientifiques. Néanmoins voilà quelques mots pour vous expliquer pourquoi j’ai choisi Nahibu comme partenaire.

  • C’est une start-up française située en Bretagne
  • L’analyse simple à pratiquer, depuis votre domicile
  • La méthode de séquençage, métagénomique, est à la pointe de la technologie et propose une cartographie fine du microbiote intestinal dans les espèces et les souches. [lien source]
  • L’idée de procéder à ce type analyse est de prévenir, plutôt que de guérir
  • Parce que c’est scientifique, innovant, transparent et que par conséquent, ça me plaît !

Et après l’envoi de votre kit ?

Vous recevrez :

• Des indicateurs clés sur la richesse, la diversité, la composition en espèces bactériennes et en gènes bactériens.
• Une table d’abondance pour visualiser la liste des bactéries détectées dans le microbiote grâce à la cartographie.
• L’analyse des potentiels fonctionnels (production d’acides gras à chaine courte, fonctions digestives, cérébrales et immunitaires).
• Comparaison en temps réel à la cohorte Nahibu.
• Accès aux résultats de l’analyse en ligne.
• Visualisation interactive et intuitive des résultats.
• Un rapport téléchargeable (PDF) pour les praticiens.
• Une approche nutritionnelle personnalisée (Shido).

Une fois que vous avez reçu vos analyses, vous pourrez prendre rendez-vous afin que nous mettions en place l’accompagnement globale qui prendra en compte l’analyse effectuée par le laboratoire français Nahibu.

Mais encore…

On parle de Nahibu dans le magazine « Parents » : Nahibu, la start-up qui analyse notre microbiote intestinal pour améliorer le confort digestif et éviter les ballonnements ! | PARENTS.fr

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Les conséquences du déséquilibre du microbiote intestinal

Le fait est qu’un écosystème microbien intestinal sain, en eubiose, est caractérisé par une richesse et une diversité bactérienne élevée, qui renseigne sur la stabilité et la capacité d’auto-régulation du système. [1,2]

On parle de l’eubiose, quand l’ensemble des micro-organismes présent dans l’intestin vivent en équilibre. A l’opposé, dans une situation de déséquilibre des micro-organismes, on parlera de dysbiose intestinale.

Celle-ci se caractérise par une diminution de la richesse et de la diversité microbienne, une baisse des bonnes espèces de bactéries au profit d’une augmentation d’espèces potentiellement pathogènes. Ce qui entraîne [9] :

  • Une hyperperméabilité intestinale
  • Un état inflammatoire
  • Un stress oxydatif.

 

Dans le quotidien, les symptômes dont l’origine est très certainement liée au déséquilibre du microbiote intestinal, peuvent se manifester par :

  • Des ballonnements, des nausées, des gaz, diarrhée et/ou constipation parfois même en alternance…ces problèmes digestifs pouvant être chronique ou apparaitre de façon inopinée,
  • Baisse de la vitalité, trouble de l’humeur, baisse de moral, troubles du sommeil
  • Sensibilité aux infections, troubles ORL à répétitions…

 

Pour aller un peu plus loin

Un microbiote altéré c’est une perte de richesse de certains des micro-organismes qui cohabitent dans le côlon.

Regardons ce qui se produit, chez les individus atteints d’une maladie inflammatoire chronique de l’intestin. On observe un appauvrissement des bactéries ayant un effet protecteur sur la muqueuse intestinale, avec en parallèle une hausse des espèces inflammatoires et diverses entérobactéries.

Du dysfonctionnement…

A la base, ces micro-organismes utilisent comme source d’énergies les glucides complexes et les protéines qui n’ont pas été absorbées par l’hôte au niveau de l’intestin grêle [3]. C’est un processus normal, de fermentation, qui est à origine de la production d’acides gras à chaine courte (AGCC), et favorables à la santé humaine. Les principaux étant l’acétate, le butyrate et le propionate. Ils constituent une source d’énergie importante pour notre organisme. [4]

Prenons par exemple le propionate, un inhibiteur de la lipogenèse (c’est quand les graisses se forment à partir des glucides) et la synthèse de cholestérol, il joue un rôle clé dans la prévention de l’obésité et du diabète. [5]

Autre exemple, avec le butyrate, dont le rôle est mis en évidence par les études dans la prévention du cancer colorectal et des maladies inflammatoires intestinales, pour ses propriétés anti-inflammatoires et sa participation au maintien de la barrière intestinale [6]. Le butyrate est le principal nutriment des cellules de la muqueuse intestinale, il favorise leur bonne différenciation et prolifération.[6]

Puis, le microbiote intestinal synthétise certaines vitamines du groupe K (coagulation, minéralisation osseuse …) et du groupe B (système nerveux, équilibre de l’humeur, …). Pour ces dernières, il contribue à plus de 25% des apports journaliers pour quatre des huit vitamines B. [7]

Enfin, le microbiote intestinal en stimulant le développement du système immunitaire en assurant l’effet barrière, contribue à la protection de l’hôte contre les bactéries pathogènes. [8]

…à l’apparition des maladies

Dès lors on comprend mieux le mécanisme qui conduit à l’apparition d’une maladie, par l’appauvrissement du microbiote intestinale.

La recherche a permis d’associer des maladies à un changement de composition du microbiote intestinal.

Maladies métaboliques :

  • Obésité [10]
  • Diabète de type 2 [10]
  • Stéatose hépatique non alcoolique (NASH) [11] et cirrhose [12]
  • Athérosclérose [13]

 

Maladies immunitaires

  • Maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (recto colique hémorragique et maladie de Crohn) [14]
  • Spondylarthrite ankylosante [15]
  • Diabète de type 1 [16]
  • Maladies cœliaques [17]
  • Allergies et asthme [18]

 

Maladies neurodégénératives

  • Maladie de Parkinson [19]
  • Maladie d’Alzheimer [20]
  • Troubles de l’humeur et du comportement, anxiété [21]
  • Dépression [21]
  • Autisme [22]

 

Autres maladies

  • Cancer colorectal [23]
  • Syndrome de l’intestin irritable [14]

 

Les solutions

Il en existe plusieurs mais je vous présente ici les plus simples et les moins invasives.

Il est tout à fait possible de travailler sur le microbiote en procédant par déduction, sur la base des information données lors de la consultation. A l’aide des études scientifiques qui mettent en evidence l’utilisation de souches spécifiques pour des pathologies distinctes, je conseille une formulation précise et adaptée.

Il est possible également de faire pratiquer une étude poussée de son microbiote intestinal, qui révèlera sa richesse, sa composition, et le potentiel fonctionnel des bactéries intestinales. Pour cela, je vous invite à lire mon prochain article : « Comment faire analyser son microbiote intestinal« . [table id=5 /]

 

 

Le microbiote intestinal, c’est quoi ?

Le microbiote, est l’ensemble des micro-organismes (bactéries, microchampignons, …) vivant dans un environnement spécifique (le microbiome) chez un hôte (humain, animal, végétal…).

 

Chez l’humain on distingue plusieurs microbiotes :

    • Intestinal
    • Cutané
    • Vaginal
    • Placentaire
    • etc…

 

L’intestin étant notre « second cerveau », la santé de son microbiote est d’est plus cruciale. Intéressons-nous de plus près au microbiote intestinal, autrefois appelé flore intestinale.

 “Toute maladie commence dans l’intestin” – Hippocrate (460-377 av. J.-C)

 

Contrairement à ce que l’on pourrait supposer, la récente reconnaissance du microbiote comme organe à part entière ne trouve pas ces origines chez contemporains. Hippocrate, avait déjà mis en évidence le rôle prépondérant de l’intestin dans la santé humaine. « L’intestin notre second cerveau », est l’un des principes fondamentaux, qui nous est enseigné en pratique de la naturopathie.

On sait aujourd’hui que la capacité métabolique du microbiote est similaire à celle du foie.[1]

En effet, le microbiote intestinal rempli différentes fonctions dans :

  • L’immunité : résistance à la colonisation de bactéries inflammatoires, fonction barrière, …
  • Le système nerveux : équilibre de l’humeur, mobilité, anxiété, sommeil…
  • Le métabolisme : digestion, stockage des calories, productions de vitamines…

 

L’humain et le microbiote intestinal ne sont pas deux entités séparées, mais interagissent en coévolution. Il diffère d’un individu à un autre et évolue tout au long de la vie selon plusieurs facteurs comme : le patrimoine génétique de l’individu, son âge, son état de santé, son alimentation et son mode de vie. C’est l’ensemble de ces facteurs viendrons impacter la composition du microbiote. [2] [3]

A titre personnel, je me réjouis de cette reconnaissance, tant le mépris et par conséquence l’absence de prise en charge de cet organe, ont été délétère dans la santé de l’humain. J’ai espoir qu’il ne soit pas trop tard pour que le lien soit respecté entre l’eubiose intestinale et terrestre. Comme je le montre dans l’article : Santé du sol et maladies neurodégénératives, des liens existent-ils ? Il existe bel et bien un lien entre la maladie d’Alzheimer, les maladies neurodégénératives, et la santé de la terre.

Voilà pourquoi il est essentiel de s’intéresser aux conséquences d’un déséquilibre (Cf. Article), de même que de savoir comment analyser avec précision le microbiote intestinal (Cf. Article). [table id=5 /]

 

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